Syndicats, associations, engagements et moralité dans les sociétés africaines contemporaines
M. Diamoi Joachim AGBROFFI Université de Bouaké | ABIDJAN - Côte d'Ivoire
Résumé : Le présent article traite des syndicats, des associations et de leurs engagements envers leurs cibles divers, et qui sont pris et faits sans la moralité dans ses sens et significations de convenances, de bonnes mœurs ; ni les principes démocratiques dans l’intérêt bien compris de tous ; ni la conformité aux principes citoyens, démocratiques ; ni respect de la souveraineté, de l’impartialité ; ni élévation sincère vers la vérité. L’article questionne les actions individuelles et/ou collectives prétendument posées dans l’intérêt de tous, mais qui assez souvent, se retrouvent être immorales, une sorte de trompe-l’œil, un masque des intentions égoïstes, partiales, non démocratiques. Il table sur l’agir, le penser et le sentir, en matière syndicale, associative qui ne se font pas conformément aux règles de la morale. Il traite de l’idéal de conduite syndicale, associative et démocratique qui ne respecte pas la morale ; ni ne se fait par élévation du sens moral. Les sociétés africaines, et celles européennes qui leur viennent en aide, ne se donnent ni ne se recommandent, par moments, par des modèles de sociétés morales dans le fond de leur respect des principes de démocratie, de justice, de liberté des droits de l’homme. Le problème majeur est que tout compte fait, la morale n’est pas respectée dans tout ce qui se fait en matière civile, constitutionnelle, syndicale, associative, démocratique et autres dans les sociétés africaines. Mots clés : non-respect de morale, immoralité, engagements, associations, syndicats.